Pourquoi même vos clients les plus basiques ont besoin d’un antispam et d’un audit

L’illusion de la petite structure protégée

Beaucoup de dirigeants pensent « nous sommes trop petits pour être une cible ».  Or, 7 PME sur 10 ont déjà subi une attaque cyber identifiée en 2023. Les attaquants automatisent leurs campagnes : les « petites » boîtes sont les premières à tomber.

L’email, porte d’entrée n°1

Le phishing et les pièces jointes infectées sont les menaces les plus fréquentes. Un simple clic d’un collaborateur peut exposer tout le SI. L’antispam est la première ligne de défense, même pour un artisan ou une TPE.

Les vulnérabilités cachées révélées par un audit

Mauvais paramétrage d’Office 365, mots de passe trop faibles, sauvegardes absentes. L’audit met en lumière ces failles invisibles pour un non-spécialiste. Il permet d’anticiper plutôt que de subir un incident coûteux.

Conformité et image professionnelle

Directives comme NIS 2, RGPD : même les fournisseurs des entreprises « prioritaires » sont concernés. Un incident non traité peut mettre en péril un contrat, ou la réputation d’une petite structure.

Des incidents évitables… si on agit tôt

Sans antispam ni audit : multiplication des infections, perte de données, arrêts d’activité. Avec une protection proactive et une vision claire des risques : continuité, sérénité, et respect des obligations.

Conclusion

Même le plus petit client a besoin de cette « assurance vie numérique ». Pour un coût modeste (ex. antispam à 3,5€/poste/mois et audit standard à partir de 299€), vous transformez un risque majeur en simple formalité.

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